le dernier paragraphe est croustillant "espérons qu'ils feront tout pour renforcer la sécurité".
les émirats sont également en zone sismique , chouet les coréens sont des billes dans ce domaines certes ils auront les moyens de ce payer les ingénieurs adéquat mais tout ça est flippant.
d'autant plus que l'on sait que les coréens on vendu ces projets a perte et seront tentés de faire des économies sur en premier lieux le gros oeuvre et la sécurité.
j'espere seulement que avec la catastrophe actuelle au japon l'AIEA aura un droit de contrôle sur sur tout les futurs réacteurs .
mais bon sur le fond j'essaye toujours de comprendre pourquoi un pays assis sur un baril de pétrole , et vivant sous le soleil 364 jours par ans fait le choix du nucléaire .
les émirats sont également en zone sismique , chouet les coréens sont des billes dans ce domaines certes ils auront les moyens de ce payer les ingénieurs adéquat mais tout ça est flippant.
d'autant plus que l'on sait que les coréens on vendu ces projets a perte et seront tentés de faire des économies sur en premier lieux le gros oeuvre et la sécurité.
j'espere seulement que avec la catastrophe actuelle au japon l'AIEA aura un droit de contrôle sur sur tout les futurs réacteurs .
mais bon sur le fond j'essaye toujours de comprendre pourquoi un pays assis sur un baril de pétrole , et vivant sous le soleil 364 jours par ans fait le choix du nucléaire .
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Bilan de la visite de Lee Myung-bak aux Emirats arabes unis
2011-03-15
Le président sud-coréen Lee Myung-bak s’est rendu le week-end dernier aux Emirats arabes unis pour assister à la cérémonie organisée pour le début des travaux de construction de plusieurs centrales nucléaires dans ce pays du Moyen-Orient. Cela a permis de renforcer encore davantage le partenariat stratégique entre les deux pays. Le projet de la Corée du Sud d’exporter son savoir-faire en matière d’énergie nucléaire et de construire des centrales à l’étranger s’accélère, ce qui lui permet aussi de sécuriser quelque 1,5 milliard de barils de pétrole émirati. En parallèle, l’unité des forces spéciales sud-coréennes, baptisée « Ahk », qui a été déployée pour assurer la formation des militaires sur place, semble continuer à accomplir sa mission avec brio.
La plus significative des avancées obtenues par le chef de l’Etat sud-coréen est sans aucun doute la sécurisation de ressources pétrolifères. Après sa rencontre au sommet avec le président émirati, le Cheikh Khalifa, les deux leaders ont signé un contrat qui prévoit que le pays du Matin clair prendra part au développement des champs de pétrole des Emirats. Le contrat stipule que la Société nationale de pétrole de Corée du Sud sera incluse dans les projets d’exploitation des champs pétrolifères et gaziers menés par la Compagnie nationale du pétrole d’Abou Dabi et elle aura aussi l’exclusivité sur l’exploitation de trois champs d’or noir. Le mémorandum d’entente sur le développement des gisements garantit l’implication sud-coréenne à partir de 2014 dans l’exploitation de champs de pétroles pour au moins 1 milliard de barils. Cela ne représente aucun risque pour la Corée du Sud, étant donné qu’il est certain que les réserves de pétrole concernées sont considérables.
Le pays du Matin clair obtient donc le droit d’exploiter trois champs pétrolifères qui pourraient représenter 340 millions de barils de pétrole. Grâce aux derniers accords qu’elle a signés, la Corée du Sud a sécurisé au total 1,5 milliard de barils de pétrole. Cela permettra de répondre en grande partie aux besoins énergétiques nationaux, alors que le pays ne dispose pas de ressources énergétiques.
Par ailleurs, le lancement des travaux de construction de la première centrale nucléaire marque une étape importante pour la Corée du Sud, puisque c’est la première fois qu’elle se lance dans la construction d’infrastructures aussi grandes et qu’elle exporte des centrales nucléaires. Espérons que sud-Coréens et Emiratis feront tout pour renforcer la sécurité de ces futures centrales, tirant les leçons de la catastrophe japonaise, puisque l’archipel nippon lutte actuellement pour éviter un désastre nucléaire, conséquence du séisme et du tsunami qui l’ont touché.