Petit article sur le monde, pas du tout exhaustif, mais qui proposent des circuits de nuit de fête dans Séoul :
http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/05/06/seoul-by-night-et-a-la-carte_1517574_3546.html
Le Monde propose aussi une vidéo un un diaporama sur le sujet.
Séoul "by night" et à la carte
La nuit, la capitale coréenne brille de tous ses feux et regorge de bonnes adresses. Trois itinéraires au choix.
Première option : une nuit dans le quartier international, à Itaewon. Débutons notre virée par un dîner à OKitchen. Susumu, le chef japonais, a fait ses armes en Europe puis à New York. Sa cuisine fusion suit les principes du slow food et les basiques du bio : tout ce qu'il sert sort de son jardin, cultivé à une heure de Séoul. Et ce n'est pas cher !
Ensuite, à quelques pas, All That Jazz vous attend pour un digestif. Ce club est l'un des plus anciens de la ville, quand le swing américain était encore inconnu des musiciens locaux. Et puis, autour de minuit, forcément, les couche-tard se doivent d'aller au MU Lounge, dans l'International Food Street. Un bel espace avec dancefloor et DJ du cru, plutôt branché house et electro. Aux beaux jours, quand le toit s'ouvre, les danseurs suent sous les étoiles.
Seconde possibilité : une nuit qui débute de façon traditionnelle et se termine dans le quartier “jeune”. Pour se mettre en bouche, passez déguster à Anguk les meilleurs mandu [raviolis faits maison] en ville chez Bukchon Kalguksu, un restaurant à kimchi typique. Continuez dans le même quartier au Sejong Art Center, un temple dédié aux arts made in Korea. Ou bien allez au pied de la montagne Puk Han San, pour flâner à Pyung Chang Dong, le long des anciennes maisons transformées en galeries pour écouter des concerts.
Après cette halte paisible, prenez le métro ou un taxi direction Hongdae, autour de la station Hongik University, le quartier étudiant surpeuplé de bars de nuit et de gargotes bon marché. Les mélomanes iront écouter du jazz au Evans, une scène ouverte aux découvertes et aux musiciens plus reconnus, ou boire au Bar Da, un minuscule lieu tout bleu [bada signifie“mer” en coréen].
À deux rues de là, ne pas manquer le Gopchang Jeongol, une cave aux loupiotes tamisées, tapissée de vieux vinyles de la Corée seventies. Toujours pas rassasié ? Faites un saut au Big Pojang Macha – l'un des plus grands pojang mâcha, ces tentes qui servent toutes sortes de nourritures et boissons –, dans la rue principale qui mène à l'université.
Troisième suggestion : un parcours arty à Gangnam. Pour se mettre en appétit, il faut se balader le long de Han-gang, le grand fleuve qui coupe la ville en deux. Sur les berges, il y a des événements artistiques, notamment sur la scène flottante de Banpo Daegyo, au pied du pont de Banpo.
Ensuite, allez tester la gastronomie coréenne dans l'ambiance design du Modern Bapsang, une bonne table au métro Sinsa. Et puis allez trinquer au Platoon Kunsthalle, le lieu de la culture alternative avec des performances visuelles ou sonores, dans un bâtiment qui est un empilement de conteneurs. Pour finir, passez un orteil, voire les deux pieds, au Club Eden, l'un des plus vastes dancefloors de Séoul, au sous-sol du Ritz. Idéal pour bouger aux côtés de magnifiques mannequins.
Jacques Denis
http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/05/06/seoul-by-night-et-a-la-carte_1517574_3546.html
Le Monde propose aussi une vidéo un un diaporama sur le sujet.